Trespassers

Tu sous-estimes mes capacités, Alain, regarde un peu : j'aprant mème a fère dé scrine PS: là vous êtes tous tenus d'écrire que c'est "superbent, géniau, mon FSX é pa sibo laviont s'et fri ?"

Objection votre Honneur, t'en connais combien ? À lui seul, il en vaut tant que ça ? :wink:

En fait, on arrive même à reproduire l'inversion typique du climat hivernal, où une masse d'air froid reste enfermée entre le Jura et les Alpes tandis qu'un courant chaud et humide passe en altitude. Il en résulte le stratus hivernal, qui bouche le ciel en plaine (peut parfois même devenir du brouillard) avec des températures basses alors que dès que l'on passe 1'200m on se retrouve au soleil sur la mer de brouillard et il peut facilement faire 10 à 20°C de plus... Le plateau, avec un temps à monter au chalet dès qu'on peut. En regardant derrière... au fond, le Jura. Les Préalpes émergent de la peuffe... L'embouchure de la vallée du Rhône. Bex. Les Dents du Midi. Et puis quelques images de hardwinter... les teintes sont très similaires entre CH-Pro et le BP Alpes du nord :wink: Lacs gelés en Engadine. Samedan.

Salut tout le monde ! Bravo Moune et Vbazillio, c'est exact. Bravo à Alro, qui a trouvé aussi En revanche, rien d'extraterrestre. Pour une diffusion, faut d'abord voir à quel point ça peut intéresser Laurent => s'il désire intégrer ça à son site et sous quelle forme (routine de conversion ou patch). Quant à la routine elle-même, mes connaissances en java étant ce qu'elles sont (càd nulles), j'ai dû passablement bidouiller pour arriver à ça. J'explique volontiers ma démarche aux courageux bidouilleurs qui n'ont pas froid aux yeux et qui veulent se lancer, mais il y a encore bien du boulot pour réaliser une routine Cétotomatix utilisable par tout le monde. Il faudrait également dresser une liste des lacs à faire geler en hardhiver et identifier les textures correspondantes. Idéalement, il faudrait encore trouver une texture qui remplace les sapins de l'autogen par des mélèzes, ça améliorerait les rendus en automne et en hiver. Enfin, dernier détail de puriste : je n'ai pas encore essayé, mais peut-être arrive-t-on également à afficher les saisons pour les maisons de l'autogen => si ça marche, il suffirait alors de recopier la texture des maisons dans les différentes saisons et de colorier les toits en blanc pour le hardwinter, rien de bien compliqué. Brèfle, rien d'insurmontable dans tout cela, je pense, mais il reste du boulot. Ça fermera cependant quelques caquets au sujet des scènes photos sur lesquelles on ne peut voler que le 15 août à midi par beau temps. :wink:

Je vais t'aider : regarde le premier screen... le haut, et puis juste sous le nuage central, ça te dit rien ? :wink: Et la piste en bout de lac, avec les lumières dans l'eau ?

Mmmh, je me suis un peu égaré en Robin ce soir (ça arrive même aux meilleurs), quelqu'un saura-t-il me dire ouske j'étais ? :wink: Question subsidiaire : quel est l'âge du capitaine ?

Un pneu, mon n'veu !! 8)

Un pneu, mon n'veu !!

Hé hé...

Hé hé... :wink:

Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez, où je finis enfin par le retrouver. La surprise s’avère de taille puisque Chris m’offre ni plus ni moins que la conversion sur Spitfire en compagnie d’Eric, pendant que lui ira traiter ses affaires en Corse. Une fois la formation terminée, j’ai récupéré un Robin pour rejoindre Chris sur l’Île de Beauté. Après une traversée éprouvante jusqu’à Calvi, je reçois un message de Chris me donnant rendez-vous le soir même chez son ami à Propriano. Profitant de l’après-midi, j’ai flâné un peu en route et me voici sur la terrasse de la villa de Stéphane. Malgré l’ambiance détendue, je sens que quelque chose ne tourne pas rond. **** Épisode IX : La Fille d’à Corte. Après le repas, Chris évoque enfin le programme du lendemain : Well, j’ai préparé une surprise pour toi à Solenzara, de l’autre côté, mais j’ai une petite problème avec la business, c’est pas encore okeille. Alors je ne peux pas te dire quand. Normalement, c’est pour demain, à 2pm, mais je dois confirm. Solenzara. J’ai vu une affiche à Calvi comme quoi il doit y avoir là-bas un meeting aérien le week-end prochain, mais je dois également songer à rentrer en Suisse, lundi je dois être au boulot. De plus, l’anticyclone faiblit et on annonce l’arrivée d’une perturbation pour dimanche, j’ai donc intérêt à rentrer après-demain samedi déjà. J’en fais part à Chris, qui balaie mon argument. Si le temps se gâte, je te drop off dimanche à Figari, il y a des avions directs pour Genève ou Sion, c’est pas une problème, tant pis pour la Robin, je la ramène plus tard à Sion, mais tu vas pas prendre des risques inutiles, je t’ai déjà fait assez conveyer des aircraft comme ça. Bon. Vu comme ça, effectivement. J’évoque alors le fait que j’ai une copine d’études qui vit maintenant à Corte et que, si elle est là, je ferais bien le détour pour la revoir. Chris trouve que c’est une excellente idée. L’île est petite, c’est proche de Solenzara, c’est décidé, lui partira tôt pour Zara et s’occupera de son business, moi j’irai voir Tania à Corte. Si la surprise a lieu comme prévu, je me rendrai alors pour 14h à la base de Solenzara. Le lendemain, après un petit déj sur la terrasse, me voici à l’aérodrome. Sous l’œil amusé de Jean-Louis, je profite de donner à boire aux chevaux. Voyons, la pince de mise à la terre... Puis départ ! On va commencer par suivre la rivière, u Rizzanese… …pour tourner vers Sartè, en prenant un peu d’altitude en vue des cols. Voilà la D69 qui longe la rivière, on va la suivre. Le pont sur la Rizzanese, la D69 part au NE, c’est la vallée que l’on va remonter. On monte en direction d’Aullène. Sur la gauche, on voit la route du Col de la Tana Aullène, on continue à suivre la D69… …tout droit, jusqu’au fond de la vallée. Voilà le Col de la Vaccia. Puis on prolonge au NE vers le Col de Verde, en conservant l’altitude. Cozzano et, au fond, le col. Franchissement du Col de Verde. À tribord, on aperçoit la plaine d’Aléria. On continue cependant vers Ghisoni et le Col de Sorba. La retenue se Sampolo et le défilé de l’Inzecca. Voilà le col. Coup d’œil en arrière, par où on est venu. Franchissement du Col de Sorba. Au fond, le Monte d’Oro. La D69 rejoint la N193. En bas, les ponts sur le Vecchio. Venaco, et le dernier col de la journée, celui de Belle Granaje. À droite, la vallée du Tavignano et la N200 qui descendent vers Aléria. Et voilà Corte ! Au fond, on aperçoit juste le Monte Cinto. Je profite de la vue sur Corte en descendant tranquillement au niveau du circuit. Après un poser sans histoires, je roule vers le parc. Ah ! Tania est déjà là. Elle a toujours sa bonne vielle deuche et m’attend avec Max, son clébard. Après les retrouvailles, nous voici sur la N200 en direction de Corte. Ça faisait longtemps que je ne l’avais plus revue, Tania. Sa grand-mère, la Tizia, venait d’un petit village pas loin d’ici. Elle était partie chercher du travail en Italie, puis s’était réfugiée pendant la guerre au Tessin, où elle avait rencontré le grand-père de Tania, un Lausannois. Un jour, Tania a décidé de revenir à ce côté de ses origines. Elle tient aujourd’hui une petite boutique à Corte. Ça n’a pas été facile, au début on a cherché à l’intimider, sa boutique a plusieurs fois été menacée de plasticage, mais il en faut plus pour décourager Tania. Heureusement, le vieux Pasquali se souvenait bien de la Tizia et les pressions ont rapidement cessé. Alors qu’on attaquait un brocciu que Tania venait d’acheter, je reçois un message de Chris. Les choses semblent enfin se préciser. Quant à vous, vous en saurez plus en lisant Convoyage X. (à suivre)

Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez, où je finis enfin par le retrouver. La surprise s’avère de taille puisque Chris m’offre ni plus ni moins que la conversion sur Spitfire en compagnie d’Eric, pendant que lui ira traiter ses affaires en Corse. Une fois la formation terminée, j’ai récupéré un Robin pour rejoindre Chris sur l’Île de Beauté. Après une traversée éprouvante jusqu’à Calvi, je reçois un message de Chris me donnant rendez-vous le soir même chez son ami à Propriano. Profitant de l’après-midi, j’ai flâné un peu en route et me voici sur la terrasse de la villa de Stéphane. Malgré l’ambiance détendue, je sens que quelque chose ne tourne pas rond. **** Épisode IX : La Fille d’à Corte. Après le repas, Chris évoque enfin le programme du lendemain : Well, j’ai préparé une surprise pour toi à Solenzara, de l’autre côté, mais j’ai une petite problème avec la business, c’est pas encore okeille. Alors je ne peux pas te dire quand. Normalement, c’est pour demain, à 2pm, mais je dois confirm. Solenzara. J’ai vu une affiche à Calvi comme quoi il doit y avoir là-bas un meeting aérien le week-end prochain, mais je dois également songer à rentrer en Suisse, lundi je dois être au boulot. De plus, l’anticyclone faiblit et on annonce l’arrivée d’une perturbation pour dimanche, j’ai donc intérêt à rentrer après-demain samedi déjà. J’en fais part à Chris, qui balaie mon argument. Si le temps se gâte, je te drop off dimanche à Figari, il y a des avions directs pour Genève ou Sion, c’est pas une problème, tant pis pour la Robin, je la ramène plus tard à Sion, mais tu vas pas prendre des risques inutiles, je t’ai déjà fait assez conveyer des aircraft comme ça. Bon. Vu comme ça, effectivement. J’évoque alors le fait que j’ai une copine d’études qui vit maintenant à Corte et que, si elle est là, je ferais bien le détour pour la revoir. Chris trouve que c’est une excellente idée. L’île est petite, c’est proche de Solenzara, c’est décidé, lui partira tôt pour Zara et s’occupera de son business, moi j’irai voir Tania à Corte. Si la surprise a lieu comme prévu, je me rendrai alors pour 14h à la base de Solenzara. Le lendemain, après un petit déj sur la terrasse, me voici à l’aérodrome. Sous l’œil amusé de Jean-Louis, je profite de donner à boire aux chevaux. Voyons, la pince de mise à la terre... Puis départ ! On va commencer par suivre la rivière, u Rizzanese… …pour tourner vers Sartè, en prenant un peu d’altitude en vue des cols. Voilà la D69 qui longe la rivière, on va la suivre. Le pont sur la Rizzanese, la D69 part au NE, c’est la vallée que l’on va remonter. On monte en direction d’Aullène. Sur la gauche, on voit la route du Col de la Tana Aullène, on continue à suivre la D69… …tout droit, jusqu’au fond de la vallée. Voilà le Col de la Vaccia. Puis on prolonge au NE vers le Col de Verde, en conservant l’altitude. Cozzano et, au fond, le col. Franchissement du Col de Verde. À tribord, on aperçoit la plaine d’Aléria. On continue cependant vers Ghisoni et le Col de Sorba. La retenue se Sampolo et le défilé de l’Inzecca. Voilà le col. Coup d’œil en arrière, par où on est venu. Franchissement du Col de Sorba. Au fond, le Monte d’Oro. La D69 rejoint la N193. En bas, les ponts sur le Vecchio. Venaco, et le dernier col de la journée, celui de Belle Granaje. À droite, la vallée du Tavignano et la N200 qui descendent vers Aléria. Et voilà Corte ! Au fond, on aperçoit juste le Monte Cinto. Je profite de la vue sur Corte en descendant tranquillement au niveau du circuit. Après un poser sans histoires, je roule vers le parc. Ah ! Tania est déjà là. Elle a toujours sa bonne vielle deuche et m’attend avec Max, son clébard. Après les retrouvailles, nous voici sur la N200 en direction de Corte. Ça faisait longtemps que je ne l’avais plus revue, Tania. Sa grand-mère, la Tizia, venait d’un petit village pas loin d’ici. Elle était partie chercher du travail en Italie, puis s’était réfugiée pendant la guerre au Tessin, où elle avait rencontré le grand-père de Tania, un Lausannois. Un jour, Tania a décidé de revenir à ce côté de ses origines. Elle tient aujourd’hui une petite boutique à Corte. Ça n’a pas été facile, au début on a cherché à l’intimider, sa boutique a plusieurs fois été menacée de plasticage, mais il en faut plus pour décourager Tania. Heureusement, le vieux Pasquali se souvenait bien de la Tizia et les pressions ont rapidement cessé. Alors qu’on attaquait un brocciu que Tania venait d’acheter, je reçois un message de Chris. Les choses semblent enfin se préciser. Quant à vous, vous en saurez plus en lisant Convoyage X. (à suivre)

Edit : remis en ligne les screens virés par imageshack...

Edit: remis en ligne quelques images virées par imageshack...

Bah, si mes aventures plaisent à quelques personnes, je suis déjà bien content. Je craindrais de faire une publicité malvenue pour des produits payants. Si je fais le compte : 29.90€ +19.90€ +29.90€ +19.90€ ... j'aurais pu me payer FSX, tiens...

Heu... BOUM !!! peut-être ?

Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez, où je finis enfin par le retrouver. La surprise s’avère de taille puisque Chris m’offre ni plus ni moins que la conversion sur Spitfire en compagnie d’Eric, pendant que lui ira traiter ses affaires en Corse. Une fois la formation terminée, j’ai récupéré un Robin pour rejoindre Chris sur l’Île de Beauté. Après une traversée éprouvante me voici enfin à Calvi. **** Épisode VIII : Propriano Privée. Voici donc le message laissé par Chris sur ma boite vocale : Hey, bienvenue au club des pilotes Spitfire, congratulations! Écoute, aujourd’hui Stephan et moi on est absents pour business, on sera pas à Propriano avant la soir, I’m so sorry, mais tu viens quand tu veux, no problem, il y a toujours quelqu’une chez Stephan. Demande à Jean-Louis de l’airfield, il te conduit, il vient de toute façon pour dinner ce soir. Je suis vraiment désolé pas être là, mais je me réjouis te revoir et puis demain on passe la journée ensemble, tu vas voir… Allez, ciao, tu fais gaffe, en traversant, hein ? Take care, bye. Bon. Ben la vie est belle, je viens d’effectuer ma première traversée sur la mer, me voilà en Corse, j’ai la journée pour moi… bien envie de flâner un peu. Du moment que je suis à Calvi, une petite visite s’impose, non ? C’est le contrecoup de la traversée, sans doute, mais je suis euphorique. De rue en rue, je me promène, et puis c’est midi, j’ai faim. J’ai tôt fait de me dégoter une terrasse où la carte me semble pas mal, une salade de magret, départ ! L’après-midi est déjà bien entamé lorsque je suis de retour à l’aérodrome pour préparer l’avion. Ça tourne, pompe à essence coupée, j’affiche 1000 tours, prêt au roulage. Un « Canadair »… Point fixe. Le vent a tourné, il vient maintenant du large. Pas besoin de remonter la piste. Et c’est parti ! Le ballon est toujours là, gaffe… Je quitte la zone par le point de report Sierra. Devant, le golfe de Galéria. Puis le golfe de Girolata et le Cap Seninu. Girolata, son fortin et sa tour génoise, là en bas. Le Monte Seninu et la Punta a Scopa. Porto. En continuant ma route vers Cargèse, je passe près du Capu d’Orto. Cargèse, j’arrive au point November Sierra pour la TMA d’Ajaccio. Cap sur les Îles Sanguinaires et le point de report Whisky. Ajaccio depuis Whisky Alpha. Vent arrière main gauche pour la piste 20. Mmmh, ça souffle un peu pour la finale, va falloir corriger le crabe au moment de toucher. Reste plus qu’à trouver un bus pour le centre ville… En me baladant dans les rues d’Ajaccio, j’ai acheté deux ou trois saucissons secs, des fromages et quelques bouteilles de rosé de Patrimonio, histoire de ne pas débarquer les mains vides chez les amis de Chris. Le temps de revenir, de préparer la fin du vol et de charger puis préparer l’avion, il est déjà 19 heures à la mise en route. Oiseau de mauvais augure aperçu lors du roulage. Je préfère les voir au sol, ceux-là. Enfin, ce n’est peut-être qu’un entraînement… Décollage… Dernier coup d’œil à Ajaccio. Les Îles Sanguinaires… Le contrôle m’a envoyé au point de report Sierra Alpha, rapport probablement à l’activité des Canadairs… La piste de Propriano en visuel. Verticale terrain 500 ft au-dessus du circuit… …pour aller tourner à l’écart… …et rejoindre le circuit en vent arrière main gauche. Finale. Parc visiteur, le temps de passer au C et de trouver Jean-Louis… …et me voici chez Stéphane pour le pastis sur la terrasse. Chris est là aussi. Il est content de me voir, mais je le sens contrarié. Inutile de le questionner sur son « business », il n’aime pas ça – pour lui, une affaire, c’est secret tant qu’elle n’est pas conclue – mais il semble évident que les choses ne se déroulent pas entièrement comme il le voudrait. Et ce n’est pas son intérêt soudain et un peu forcé pour mes visites de Calvi et d’Ajaccio qui me fera changer d’opinion. Après le repas, une fois Jean-Louis parti, Chris m’explique enfin ce qu’il a prévu pour le lendemain. Mais ça, vous le saurez en lisant Convoyage IX. (à suivre)

Ouais, merci du tuyau. Ça doit être utilisable avec le TrackIR, cependant (en mettant moins de sensibilité en rotation gauche-droite). Parce que bon, ça permet de bien voir à gauche et à droite, mais pour ce qui est de regarder en bas (chercher l'aire des signaux lors de la verticale terrain) ou de garder un oeil sur les instruments en phase d'atterro, rien ne vaut pour l'heure le TrackIR... Je ne sais toujours pas comment j'ai pu vivre sans...

Okeille, je vous propose la chose suivante : Je fais une BGL uniforme sur tout le LOD, je fais un petit alphatest, puis je la mets à disposition, avec un mode d'emploi en french pour créer les textures. Je vous tiens au courant. A+ Antoine

Salut Alain, Merci de ta réponse. Pas de problème, je te tiens au courant. J'ai déjà réalisé et testé avec succès le FuMu de la bgl des saisons. Reste maintenant à estimer le soin à apporter aux variations saisonnières du nord de l'Europe pour réaliser une BGL à distribuer. Mais si personne ne vole dans ces contrées, je vais me contenter pour l'instant de faire une BGL uniforme... J'ignore également combien d'entre-vous volent avec la date et l'heure du système (en ce cas, mon exagération de neige l'hiver est-elle mal perçue ?) À plus Antoine

Correctif - c'est fini, j'ai rendu mon @#*&! de mémoire et je viens de refixer le yoke au bureau Back to business, en quelque sorte... Le clavier va reprendre sa fonction première - la fermeture de la verrière Et justement, je lance un petit sondage pour savoir s'il y en a parmi vous qui s'intéressent aux textures saisonnières pour Switzerland Pro, histoire de tâter un peu le terrain quant au type de fichier seasons.bgl à réaliser. Je m'espique, en simplifiant : FS utilise un algorithme se basant sur plusieurs paramètres pour calculer la saison de texture à afficher. Parmi ces paramètres, il y a bien entendu la date réglée pour le vol, mais il y a également l'altitude (cf. screen "31 octobre" plus haut dans le fil, les montagnes sont saupoudrées de neige, mais pas la plaine), et puis il y a également le fameux fichier seasons.bgl, qui pour chaque mois indique les zones où il y a du "hardwinter", du "winter", du "spring", du "summer" ou bien du "fall". Or, comme je l'ai indiqué ci-dessus, ce fichier est assez grotesque, notamment dans les Alpes, à cause du changement de climat entre le plateau suisse et l'Italie. Je suis donc en train de créer une BGL pour la Suisse, qui prendra localement la priorité. Tout est cependant dans le "localement", car sous FS9, les saisons sont en LOD2. Pour la Suisse, j'ai déjà de la chance, elle est tout juste en entier dans le même LOD, le 0112 (cf. image ci-dessous) Ce LOD2 c'est un carré de 2'500km x 2'500km qui, si mes calculs sont bons, va de 45°N à 67.5°N en latitude, et de 0° à 30°E en longitude, donc ça englobe l'Europe du nord et de l'est, la Scandinavie et les Alpes. Ce LOD est divisé en 256 x 256 tuiles d'environ 10km x 10km, c'est la résolution de l'information. En d'autres termes, tous les 10 km, je peux (et je dois) spécifier pour chaque mois la "saison" à afficher. FS interpole ensuite entre ces points. Les BGL de saison n'ont pas de transparence, c'est-à-dire que je ne peux pas me contenter de définir des saisons sur un morceau seulement du LOD2 et remplir le reste d'une valeur indiquant à FS d'utiliser la seasons.BGL de base, comme on le fait avec les landclass. Toute zone du LOD2 que je ne définis pas est alors coincée en été, même un 3 janvier. Je dois donc définir les saisons pour tout le LOD, et ceci pour tous les mois. La question est alors de savoir qui d'entre vous utilise d'autres scènes couvertes (même partiellement) par le carré rouge de la carte et susceptibles d'avoir des saisons différentes de la Suisse ? et si c'est le cas, à quoi doit ressembler la répartition de ces saisons ? (typiquement, au-delà du 60°N il faut je pense mettre du hardwinter pendant la moitié de l'année) En effet, l'année FS se divise en 12 périodes, qui ne correspondent pas exactement à nos mois, mais presque. Par exemple, la période 1 va du 1er janvier au 14 février, la période 2 va du 15 février au 17 mars, etc. FS a 5 saisons : 0: winter (wi) - hiver 1: hardwinter (hw) - tout est blanc de neige 2: spring (sp) - printemps 3: summer (su) - été 4: fall (fa) - automne Pour la Suisse, je pense exagérer avec largesse sur le hardwinter, car c'est pas tous les jours qu'on a de la belle neige comme ça, et ça donne mieux que les textures "winter". Donc je pense faire qqch comme ça (sous réserve d'adaptations, en fonction de ce que donnent les transitions) : Période 1, 01.01-14.02 : hw Période 2, 15.02-17.03 : hw Période 3, 18.03-17.04 : wi Période 4, 18.04-18.05 : sp Période 5, 19.05-18.06 : sp Période 6, 19.06-19.07 : su Période 7, 20.07-19.08 : su Période 8, 20.08-19.09 : su Période 9, 20.09-20.10 : fa Période 10, 21.20-20.11 : fa Période 11, 21.11-21.12 : wi Période 12, 22.12-31.12 : hw Remarques additionnelles: - le temps de chargement de la scène sous FS9 est un petit peu plus long avec les saisons, ça doit calculer beaucoup de choses apparemment. - les utilisateurs de FSX prétendent que les saisons quintuplent le temps de chargement de FSX, à vérifier. - les BGL de saison de FSX sont en LOD5 => beaucoup plus petit. Ça donne la possibilité de ne pas influencer tout le continent en faisant des retouches. En revanche, n'ayant pas FSX, je ne puis pour l'instant que travailler à l'aveuglette (message à Jean-Marc, au cas où cela te dirait ) PS: CH-Pro sert un peu de cobaye pour mettre au point les algorithmes, mais si ça fonctionne, il est ensuite très facile de convertir d'autres scènes photos, si vous voyez ce que je veux dire... Je pense principalement au BP Alpes Cordialement Antoine

T'inquiète, c'est presque fini (tout est dans le presque) Ensuite, il faudra faire un reset général et rebooter le système. Je crains même qu'une petite défragmentation ne s'impose (où ai-je donc mis la williamine ?)

Bon ! je ne sais pas si certains d'entre vous ont déjà essayé la manip ci-dessus. En ce qui me concerne, j'obtiens de la super neige sur le plateau, je n'ai pas encore contrôlé le Jura, mais la Gruyère sort magnifique en hiver. Le Valais et le Chablais, en revanche, sont moins gâtés : certaines dalles ne reçoivent jamais de neige, alors que celles d'à côté restent blanches tout l'hiver, quoi que je fasse. En outre, de façon générale, l'ubac (càd les versants exposés au nord) reste vert tout l'hiver, tandis que l'adret (versants exposés au soleil) est très enneigé de l'automne au printemps. Voilà une logique qui décoiffe... Tout ceci n'a rien à voir avec la routine générant les textures, ni avec la qualité des textures ainsi produites, encore moins avec CH-Pro et l'âge du capitaine. Non, j'ai identifié le coupable. Il s'appelle seasons.bgl et habite non pas au 21, mais dans le répertoire X:\Program Files\Microsoft Games\Flight Simulator 9\Scenery\BASE Autant dire que l'on ne peut s'amuser à désactiver cette bgl de malheur, qui sème le pétchis. En revanche, et c'est là où les Athéniens s'atteignirent, comme pour les autres BGL, il suffit d'en composer une à son goût et de la placer dans le répertoire de CH-Pro pour qu'elle prenne le dessus. Sifflet, mes bons amis, j'ai fait l'expérience sur une LOD2 près de Sion, en assignant du Hardwinter au mois 1 (à peu près janvier dans FS). Voici comment le coin apparaît un 24 janvier à 13h avec le seasons.bgl par défaut ...puis le même endroit, même jour même heure avec ma BGL C'est-y pas beau tout ça, hein ? En plus le camouflage de mon Hunter est redoutable sur fond de Hardwinter. Il ne reste plus qu'à votre Trespapou à créer les LOD2 des 12 mois sur l'ensemble de CH-Pro... :wink: Cadeau-bonux: En plus, la neige sort pas mal du tout aux premiers rayons du soleil

Salut Alain, Je t'ai répondu en MP. A+ Antoine

Hé hé... j'ai effectivement trouvé de quoi transformer un peu CH-Pro. Le site gérant cela étant actuellement en travaux et de fait plutôt compliqué d'accès, le créateur de la routine la met en attendant à libre disposition sur ce lien : http://th-mack.de/download/CH-Pro/ C'est en allemand, mais pas de panique, c'est très simple : Tout d'abord, au milieu de la page tu trouves 5 fichiers ZIP de couverture autogen pour CH-Pro. Si ça t'intéresse, fais-moi signe, car il faut encore le dossier de textures de cet autogen pour qu'il s'affiche (oubli du gars ?) Tout en bas de la page, tu trouves le lien CHProSeasons07.zip / 21.12.2006 vers la routine de création des textures saisonnières, ensuite les explications sont également dispo en angliche, ça devrait aller. Attention, ce n'est pas encore optimal (beta). La conversion est totomatique, et nécessite juste le imagetoolFS2004.exe du SDK, que tu as sûrement. En travail d'arrière plan, l'ensemble a pris 3h30 chez moi et a fonctionné sans encombre. Pour la transition entre les saisons, FS fait des mélanges de textures qui soulignent les limites des dalles => solution peut-être à venir. Brèfle, c'est du beta, mais pour illustrer tout ça, voici qq images au-dessus de Sion : 31 juillet 1er octobre 31 octobre 31 décembre (hard winter) Edit: supprimé quelques infos erronées