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Trespassers

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Tout ce qui a été posté par Trespassers

  1. Oui, absolument. C'est ce paramètre qui vous permet de l'afficher ou non après installation. Concernant les FPS sous FSX, hélas !, je ne puis vous aider : je n'ai pas FSX... d'autres en sauront peut-être davantage. Vous pouvez cependant essayer par vous-même si vous avez le BP Riviera, lequel contient de l'autogen, notamment à Nice => voir comment évoluent vos FPS quand vous variez ce paramètre.
  2. Bonsoir, Comme améliorations, je vous conseille d'une part l'extension autogen (comme dit le proverbe, quand y a de l'autogen, y a du plaisir). D'autre part, le pack gratuit CorseVFR7 vous permet d'avoir bien des détails, autant de repères VFR (tours génoises, églises, antennes, villages, ciatdelle de Calvi, etc.) On en parle ici. http://www.francevfr.com/forum/viewtopic.php?t=1512 Voici queleques screens la même région sous FS9 (entre 2'500 et 3'500 ft ASL, 17h45). Les images sont non-retouchées, mis à part un redimensionnement pour le forum.
  3. ...sans oublier les Lisunov Li-2 et autres Showa L2D...
  4. L'histoire est sympa, puisque vous me demandez mon avis j'ai bien aimé le coup de la contrebande et le côté bush pilot qui en découle. J'ai moins aimé vos reflets dans la mer (idem pour la 1ère vidéo, n'auriez-vous pas quelque peu exagéré sur la couche alpha ?) et à nouveau la musique.
  5. Chouette ! quelqu'un d'aussi têtu que moi, bravo ! Cela dit, vous avez raison, les deux appellations ont cohabité, mais (pour pinailler jusqu'au bout) votre texte en allemand indique bien que la désignation officielle sur les listes du RLM est demeurée Bf. Merci pour le soleil des Caraïbes. Le soleil helvète cogne dur aussi ces temps, mais les Caraïbes font bien envie...
  6. Merci pour les liens Alro. Cependant, on y lit ...ce qui est inexact : la Suisse en a obtenu 75 (une dizaine de D et le reste de E3) un peu avant la guerre, mais n'en a jamais construit. À ce sujet, il est intéressant de constater que ces Messerschmitt se sont battus contre des Messerschmitt allemands, des Bf-110, au printemps 1940 à l'occasion d'accrochages sur le Jura. Malgré une supériorité numérique écrasante, les Bf-110 ne se sont pas seulement montrés impuissants, mais 3 d'entre eux ont été abattus, contre un Bf-109D suisse endommagé. Il est curieux que l'état major allemand n'en ait tiré aucune conclusion concernant l'inaptitude à la chasse diurne du Bf-110 avant de se la refaire démontrer lors de la bataille d'Angleterre...
  7. N'importe quoi... où voyez-vous un filtre à sable ? C'est un E4 du type de celui utilisé par Adolf Galland pendant la bataille d'Angleterre, et il s'appelait bien Bf-109 à l'époque. La dénomination Me est plus tardive.
  8. Attention, ce n'était pas la même version de Spit, mais des Mk.I et II (le Spit a presque triplé de puissance au cours de sa carrière). Le Mk.XIV de la vidéo est un modèle très tardif. Il a pu combattre contre des Bf109, mais alors des versions G ou ultérieures (le 109 de la vidéo est une version E de 1940). Mais puisque c'est un thread dédié aux vidéos, j'envisage de poster une vidéo de ma grand-mère qui tricote...
  9. Ben... je ne voudrais pas être mauvaise langue, mais j'ai visionné la première vidéo (pas eu le courage encore pour la seconde) : - je vois pas le rapport avec FranceVFR - vous aviez pour mission d'escorter un B17, pas de le laisser tomber à la première occasion - un Spitfire XIV qui n'arrive pas à se débarrasser d'un vieil Emil, c'est aussi réaliste qu'une BMW qui n'arrive pas à suivre une 2CV sur l'autoroute... - vous vous lancez au combat avec un bidon sous le ventre, vous êtes suicidaire, ma parole ! Cela dit, l'aspect technique de la réalisation est sympa - peut-être y a-t-il un poil trop d'effets vieillissants pour un si long métrage (répétitif) et la musique pompeuse n'est pas ce que je préfère, mais là, c'est histoire de goûts.
  10. Eh ben adresse à retenir, je ne demande qu'à essayer la prochaine fois que je suis dans le coin, mais cela ne ternira heureusement pas mon souvenir sétois...
  11. Ah, quand vous aurez tout dit... effectivement, votre config fait probablement ce qu'elle peut...
  12. Ou un petit tour en hélico à Grasse ? http://www.francevfr.com/forum/viewtopi ... ght=prison Trève de couenneries, très, très beaux screens, Jean-Marc, félicitations !
  13. Mais nous sommes (presque) tous également sur FS9 et ça doit pouvoir s'afficher bien mieux que ça. Je ne suis pas du tout à la page en ce qui concerne les cartes graphiques, je n'en ai pas non plus une bien terrible, mais c'est peut-être là que ça coince... Êtes-vous sûr d'avoir réglé votre Mip Mapping sur 4 ? Vos images ressemblent à ce que j'obtiens quand je mets ce paramètre trop bas... (1 ou 2)
  14. Sinon, une différence potentielle, c'est que je suis resté à FS9...
  15. Mhhh, me souviens plus bien, c'est Eric qui pilotait et le Spit, c'est un avion pour regarder dehors. Je dirais néanmoins que suivant les endroits, nous étions entre 3000 et 8000 ft. ASL
  16. Salut ! C'est une région que je connais bien, j'avais un client du côté de Mômpeuyié et j'avais été explorer deux fois les vignobles au pied du Picqueuh Saingue-Loup, que l'on reconnaît bien sur vos screens. Je faisais souvent des virées dans l'arrière pays ou bien du côté d'Aigues-Mortes, voire me balader en Camargue. J'ai mangé la meilleure bouillabaisse de ma vie à Sète, hors-saison. N'en déplaise aux Marseillais, là-bas, ils servent les poissons séparément de la soupe, sur un grand plat. On prépare quelques poissons dans son assiette, puis on verse la soupe dessus. Le pêcheur venait de lui livrer les poissons, je me suis régalé, mais je n'ai jamais vu le fond du plat des poissons, tellement y en avait. J'avais quelque peu sympathisé avec le patron, il m'avait sorti des boutanches de picpoul de sa cave, genre celles qu'il ne sert pas aux touristes (même si à l'époque la limite n'était pas à 0.5 o/oo, j'aurais été mal s'il y avait eu un contrôle de flics sur la route du retour...) Brèfle, que de bons souvenirs, que votre virée me rappelle... toutefois, même remarque qu'Alro, la qualité de votre affichage ne me semble pas tirer le meilleur profit de la scène.
  17. Héhé, c'était déjà prévu de te caser dans un épisode prochain, mais je n'en dis pas plus. Ce d'autant que les scénaristes ne prévoient pas si loin en avance... :wink:
  18. Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez. **** Épisode V : Rech pil priv pr conv sur tr bipl, s’adr à l’hôt Mart, et plus si affinités. J’arrive enfin à la suite 512, réservée par mon ami Chris. Celui-ci m’accueille par gestes, sans lâcher une seule seconde sa conversation en anglais au téléphone. Toujours par gestes, il me conduit dans une chambre plus vaste que la halle de montage des A380 et m’invite à m’y installer, tout en expliquant au téléphone qu’il faut refaire les évaluations mais que ça doit marcher coûte que coûte, quitte à revoir le contrat avec la Lloyds. Conscient qu’il risquait d’en avoir encore pour un moment, je lui fais signe que je vais prendre une douche. Il me montre alors une salle de bains à côté de laquelle la Place Vendôme ressemble à un réduit à chaussures. Il claque des doigts, on entend un doux borborygme et mate un peu le jacuzzi qui se met à faire des bulles. Va pour le jacuzzi ! En moins de temps qu’il n’en faut à une contractuelle pour mettre une prune sur ta tire, me voilà étendu les orteils en éventail, la tête posée sur une sorte de coussin, et un jet qui me masse les lombaires pendant que les bulles glissent sur ma peau… Au moment où j’allais m’endormir, Chris débarque avec deux verres de pastis et me demande si j’ai pu prendre congé demain. Je lui réponds que j’ai pris toute la semaine, ce qui semble le réjouir davantage que ce à quoi je m’attendais. Il m’explique alors le programme : on va manger dans une heure sur une terrasse, puis sieste. À 16h, on a rendez-vous à l’aéroport pour que je fasse connaissance avec un canari. C’est ma surprise, il refuse d’en dire plus, mais vu que j’ai congé toute la semaine, il doit faire quelques téléphones. Bon. Je sirote mon pastaga et réfléchis. Qu’est-ce qu’il a bien pu vouloir dire avec son canari ? Le jaune a souvent été une couleur d’avions école. Peut-être a-t-il dégoté un Bücker Jungmann, ou un Jungmeister ? Le jaune a aussi été utilisé dans la RAF, notamment pour des Tigres Mous [NdlR : Trespassers veut sans doute parler de Tiger Moth]. Mais pourquoi à Cannes, parbleu ? qu’est-ce qu’il y a comme zinc à Cannes, qui ait un rapport avec un canari et qui vaille la peine de me faire venir jusqu’ici ? Bah… verra bien qui verra le dernier. Quelques minutes avant 16h, nous voici sur le tarmac de Mandelieu. Chris me présente Eric, un Canadien en tenue de vol à l’ancienne, ce qui me conforte dans mon idée que le canari en question ne doit pas être tout récent. Eric me tend une sorte de casque en cuir, muni d’une protection simple mais efficace des oreilles, faisant également office d’écouteurs pour la radio, tandis que le micro est discrètement intégré à une petite tige sur la jugulaire du casque. Il m’explique que c’est ainsi que nous communiquerons dans l’avion. Après une petite séance de rangement dans les poches de tout ce qui pourrait se détacher (genre la montre) et de fermeture des poches en question, nous voici marchant sous le soleil, qui cogne encore bien, en direction d’un canari qu’il me tarde de découvrir. Ah ! voici l’oiseau. Bon sang ! un Spitfire aménagé en biplace ! Drôle de canari… Le poste arrière, où je tâche de m’installer sans rien accrocher. Prêt pour la mise en route ! Eric me recommande encore une fois de ne toucher à rien… Chris a pris un cliché pendant le roulage. Alignés sur la piste. Je ne vois rien devant. Eric s’apprête à mettre la puissance… Et voilà ! nous avons décollé. Quel bruit ! tout vibre… Théoule-sur-Mer Le Dramont, avec la plage du Débarquement Saint-Raphaël La plage de Saint-Aygulf Roquebrune-sur-Argens Le Massif des Maures, avec en arrière-plan le Golfe de Saint-Tropez. La Presqu’Île de Giens Toulon Cavalaire-sur-Mer La plage de Pampelonne, avec en premier plan le phare du Cap Camarat La région de Ramatuelle, dans la presqu’île de Saint-Tropez. Saint-Tropez. Port-Grimaud. Sainte-Maxime. Puis nous avons rencontré un Fouga Magister avec lequel on a volé un petit moment sur la mer. À bord, le capitaine Rondouillard a gentiment pris quelques clichés. Retour sur la Côte, avec la Pointe des Sardinaux. Les Issambres. Fréjus. Le Massif de l’Esterel. Le Lac de Saint-Cassien. Retour à Cannes. Finale sur la 17. Roulage vers le parc. Un bien beau vol. J’en ai les jambes qui flageolent… En retrouvant Chris, je ne sais comment le remercier. C’est un privilège que de pouvoir voler dans un avion aussi mythique. Nous décidons d’aller à la plage nous rafraîchir dans la mer. Je suis sur un petit nuage. Vers 20h, une limousine nous emmène dans un restaurant que Chris apprécie particulièrement pour ses gencives de porc (les meilleures du littoral) et où nous retrouvons Eric. Nous savourons l’apéro avec une anchoïade idéalement réussie, puis viennent mes petits légumes farcis, avec juste ce qu’il faut d’ail pour me rendre heureux. Pendant que Chris s’attaque à ses gencives de porc, je savoure mon verre de rosé en regardant le soir tomber, et je me dis qu’il est bien dommage de devoir rentrer demain. C’est à ce moment-là que l’Américain, après avoir échangé un regard complice avec Eric, me propose de mettre à profit cette petite semaine de congé. La proposition qu’il me fait alors me laisse sans voix. Mais vous, vous en jugerez en lisant Convoyage VI. (à suivre)
  19. Merci, c'est sympa ! Faut demander à Chris pourquoi il descend au Martinez, mais du moment qu'il m'offre la chambre, je ne vais pas non plus cracher dans la soupe
  20. Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert. Heureusement, Chris m’a laissé un message sur ma boîte vocale. **** Épisode IV : Prends ça dans les Cannes ! J’utilise donc ce qui reste de batteries sur mon téléphone pour écouter le message laissé par Chris : Salut gros paresseux, Je parie tu dors encore, j’espère juste t’as été gentleman avec Sophie. Moi je n’ai pas fait la grasse matinée comme toi, j’ai organisé ton surprise figure-toi ! Rejoins-moi à Cannes, je te réserve une chambre à l’Hôtel Martinez, I’ll wait for you there. Hey man, je t’en dis pas plus, c’est un surprise, but I tell you, you won't regret it! Take care and good flight, see ya in Cannes, bye! Bon ! Cannes, nom de bleu, qu’est-ce qu’il a bien pu m’inventer là-bas ? Voyons, j’ai encore largement plus de la moitié de jus dans les bidons ; question météo, c’est Cavok : le temps de préparer le vol – en particulier l’arrivée sur Cannes – et départ ! Si tout se passe bien, j’y suis avant midi, ce qui devrait laisser l’après-midi pour la surprise de Chris, faire trempette dans la Grande Bleue, un bon resto le soir, une bonne nuit de sommeil et retour en Suisse le lendemain, ramener le PA28 à son propriétaire. Avec tout ça, j’aurai largement fait mes heures… Et c’est reparti : décollage de Sisteron. On va passer par là, en direction de Digne-les-Bains. Voilà Digne ! Et voici la route Napoléon, la N85, que l’on va tout simplement suivre jusqu’à Cannes. Digne, c’est aussi le départ du petit Train des Pignes, qui fait ici une boucle… … pour rejoindre et suivre un bout la N85. Au loin, on peut apercevoir le Lac de Sainte-Croix, où Nicco fait en ce moment des travaux de génie civil, y paraît… Barrême. Ici, le Train des Pignes quitte la N85 pour aller à Nice par la vallée du Var. On apperçoit le Verdon à bâbord. Le Lac de Castillon… …et celui de Chaudanne. À tribord, les Gorges du Verdon. On laisse Castellane derrière soi... …pour continuer à suivre la N85. Ça y est, on voit la mer, là-devant. C’est le moment de commencer la descente, on arrive dans la TMA de Nice. Grasse. On va survoler Alro en descendant vers le point Echo Whisky Pastis pour l’entrée dans la CTR de Cannes… Piste en visuel. Point de report Echo Whisky, paré à la manœuvre, souquez les artibuses : approche directe sur la 17. Vent du large, légères turbulences, cleared to land. Pile poil pour l’apéro ! Retour sur le plancher des vaches. Un taxi m’amène à l’hôtel. Un journal traîne sur la banquette, je le feuillette distraitement. Des mariages, un maire qui présente son nouveau giratoire, des chiens écrasés, des chats perdus, une petite annonce : Rech proj pr proj priv … s’adr à l’Hôt Mart, et plus si affinités… bah. Ah ! voici l’hôtel. À la réception, on me confirme que Chris est bien là et m’attend dans la suite 512. J’ai hâte de le revoir, de prendre une bonne douche et qu’il m’explique enfin le fin mot de toute cette histoire. Et vous, vous le connaîtrez en lisant Convoyage V. (à suivre)
  21. Eh bien merci, c'est dans la boite. Pfouyaya, avec mon réglage perso du TrackIR, j'ai de la peine à choper les boutons cachés derrière le yoke et même en me tassant sur mon siège, l'horizon artificiel reste caché derrière le colimateur... Mais le tableau de bord est impressionnant tellement il y a de boutons fonctionnels. PS chez toi aussi, il tire une salve ou deux du canon et des mitrailleuses quand tu allumes les feux de nav ?
  22. Merci Monsieur Cyclopède ! En plus de sa désignation officielle (DH-98 Mosquito), il avait plein de surnoms (Mossie, The Wooden Marvel, etc.) Mais on peut se demander qui entre les alliés et les méchants ce moustique piquait le plus au moment où son nom a été choisi, car les militaires britanniques ont eu bien du mal à admettre d'une part qu'un avion en bois et si peu armé puisse être d'une quelconque utilité en temps de guerre, et d'autre part qu'avec deux fois la motorisation du Spitfire, mais plus de deux fois sa masse et son encombrement, on puisse obtenir un avion néanmoins plus rapide que le Spitfire... Mossie a dû vaillamment faire ses preuves dans son propre camp avant de pouvoir aller piquer les germains.
  23. C'est le cas de le dire... (le pack contient du reste une version de reconnaissance photo)
  24. T'es sûr que c'est pas un P-47 "Spitfire", tant que tu y es ? Trève de couenneries, il m'a l'air bien joli, ce ... Lightning !
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