Aller au contenu

Trespassers

Membres
  • Compteur de contenus

    4 473
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Trespassers

  1. Trespassers

    Interception

    Kiki s'est cassé le nez contre le hangar ? :wink:
  2. Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Je dois ensuite le rejoindre, soit à Sisteron, soit à une destination qu’il me communiquera quand il en saura plus. **** Épisode III : Serre les Ponçons et reste Digne ! Je n’ai jamais trop compris où en étaient les choses entre Sophie et Chris. Lorsqu’ils évoluent dans les parages l’un de l’autre, Sophie agit comme si elle ignorait ou du moins restait totalement insensible à l’amour que lui voue Chris. Quand ce dernier n’est pas là, cependant, Sophie parle de l’Américain comme de l’homme de sa vie. En tout cas, on a passé hier une très chouette soirée à évoquer notre ami commun, à tenter d’imaginer quel genre de surprise il pouvait bien me concocter et à taper avec largesse dans les Côtes du Rhône. Moi, vous me connaissez, je ne suis pas de bois et quand il s’agit ensuite de partager le lit d’une jolie gallinette portant moins que rien comme costume, en ne sachant pas trop si c’est ou non la copine me mon ami… brèfle, dur de trouver le sommeil et, ce matin, je me suis levé aux aurores, j’ai pris une douche glacée pour pouvoir ranger mes esprits dans mon pantalon et me voilà sur le tarmac pour préparer l’avion et tenter de réfléchir à la situation avec ce qui me reste de neurones. Pas moyen de contacter Chris, ni hier soir, ni ce matin. Même pas de boîte vocale. Chose stupide, en partant de chez moi hier matin, je n’imaginais pas me retrouver ici et je n’ai pas pensé à embarquer le chargeur de mon téléphone. Chose encore plus stupide, le téléphone en question est resté allumé dans ma poche pendant tout le voyage, cherchant probablement un hypothétique réseau dans les montagnes. Résultat, il se plaint depuis hier soir que la batterie est faible. C’est malin. On trouve des chargeurs dans n’importe quel Chamclerauchéant, mais faudra attendre lundi. Il est tôt. Sisteron est à tout casser à 30 minutes de vol depuis Barcelonnette. C’est décidé : je prépare le vol, puis je vais chercher des croissants pour Sophie. À 8h, si Chris ne s’est pas manifesté, je pars pour Sisteron le retrouver là-bas, lui n'émergera sûrement pas avant 9h. Bon tout est prêt. Sophie dort encore, je lui ai préparé une corbeille avec des croissants et un petit mot pour lui souhaiter une bonne semaine avec ses amis. Moi, je piaffe un peu. Allez, c’est bientôt 8h, j’y vais… Le moteur tourne, tout est ok, je n’ai utilisé qu’une quarantaine de litres d’essence depuis Grenoble, y a de quoi faire… Aligné sur la 27, prêt à mettre les gaz… …et c’est parti ! On suit l’Ubaye en direction du lac de Serre-Ponçon. La nature se réveille tranquillement. Dernier regard en arrière. Ciao Sophie ! Bon, voilà le lac. Le barrage est caché. Il est temps de virer en longeant la montagne… …pour aller chercher la Bléone vers le sud. Elle prend sa source quelque part derrière la Montagne de Lubac, non loin du Verdon. La Crête de Blayeul. Voilà la Bléone. L’Adret. Le paysage devient petit à petit provençal… …la terre devient rouge. Digne droit devant, on quitte les Alpes. Dernier regard vers les montagnes. La Bléone se jette ici dans la Durance. Il est temps de virer au nord… En descendant vers Sisteron. Sisteron L’aérodrome est à 11h. Après une verticale du terrain, je vais tourner derrière l’autoroute pour m'insérer dans le circuit. Vent arrière main droite de la 18 Et c’est posé ! Damned, c’est tout vide, Chris est déjà parti. Bon, je me dégourdis les jambes, le temps d’allumer le téléphone. Ah ! J’ai un message sur ma boîte vocale, c’est pas trop tôt ! Je vais enfin savoir où je dois me rendre pour ma surprise, avant de ramener le Piper à son proprio qui doit commencer à s’inquiéter à l’heure qu’il est. Et vous, vous le saurez en lisant Convoyage (IV). (à suivre)
  3. Mais c'est un film suisse, à 1 image toutes les 5 minutes Trève de couenneries, chuis pas sûr que Laurent ait vraiment envie de se laisser squatter le serveur
  4. Tu veux dire que c'est le seul moment du vol où tu as vu le B25 d'Alro !?
  5. Allons, allons, pas de mauvaise langue, j'ai pu remettre les photos en ligne !
  6. Résumé de l'épisode précédent : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Que se passe-t-il donc ? Où est passé Chris ? **** Épisode II : On passe le mur du (Brian)çon ! Sophie m'explique qu'elle avait RDV ici avec Chris avant d'aller faire du planeur dans le sud avec des amis. Cependant, son homme a reçu un appel important et a un peu chamboulé les plans. Ce qu'elle sait de l'histoire correspond ensuite à peu de choses près à ce qui est écrit sur un mot que l’Américain a griffonné à mon égard et qu'elle me tend : Salut old friend, So sorry je te laisse tomber, mais c'est vraiment pour le bon cause, comme tu dis. Sophie te racontera, mais je crois j'ai enfin trouvé THE cadeau pour te remercier après ta operation de rescue en Amérique du Sud last year. Tout ce que je peux dire, fais ce que je dis, appelle ton boss et prends lundi free - you'll need it ! La PA28 est dans le hangar, elle a du gas, demande à Frank pour le key. Il sait, il prend soin ensuite de ma Bonnie. Garde le credit card pour tous les expenses, of course. Je dois faire un stopover à Sisteron tonight, pour organize ton cadeau. Je te fais savoir ASAP la destination, mais c'est definitely SUD. Meet you there, ok ? Sinon, RDV à Sisteron. Avant, tu peux s'il te plaît drop off Sophie à son glider event à Barcelonnette ? C'est aussi vers le sud, pas très loin Sisteron, she'll show you on the map. Thanks so much, you won't regret it ! Take care, see you soon - you're the ultimate loser if you fly back home now Chris Ah, oui, le sauvetage en Amérique du Sud, encore une aventure incroyable. Chris avait réussi à se mêler à une sombre histoire de trafic de drogue dont j'avais pu l'extirper à la dernière minute. Cela avait donné une évasion rocambolesque à bord d'un avion volé, surchargé et traînant un buisson accroché au train d'atterrissage. Les scénaristes de James Bond auraient certainement trouvé ça trop gros pour un de leurs films, mais on s'en est sortis et cela fait un an que Chris parle me revaloir ça. Dieu sait ce qu'il mijote !! Brèfle, la météo s'annonce magnifique pour ces prochains jours et, sitôt de retour, j'ai bien envie de faire un tour de Suisse des aérodromes pour rester au fait des différentes procédures. Je lance donc un coup de biniou à mon chef et lui annonce mon désir de prendre congé pour toute la semaine. Il est en train de faire les courses avec sa femme, pas trop le temps de discuter, c’est d’accord. Chris, en revanche est injoignable, il doit être en plein vol... Voilà le Piper. Frank propose gentiment de me préparer l'avion sur une des places de parc qui se sont libérées dehors, pendant que moi je prépare le vol... Romeo Lima Juliet, voilà bien l'esprit shakespearien de Chris. Derniers contrôles pendant que Sophie passe au petit coin... Tout est prêt, le moteur tourne. Pompe à essence coupée, j'affiche 1000 tours. Reste plus qu'à contacter le sol... ... et départ sur la 22 ! Vu l'itinéraire, il va falloir monter... on va soigner le trim. Direction Vizille... ...pour prendre la vallée de la Romanche... ...qui fait ensuite un coude en direction du Massif des Écrins. L'Alpe d'Huez, on voit la piste. Gaffe au trafic... Face au Pied Moutet, on continue tout droit vers la Vallée du Vénéon. À gauche, les Gorges de l'Infernet et le Lac de Chambon, zone interdite de survol. Les Deux-Alpes. Là-bas, faut faire gaffe quand on rentre bourré chez soi en bordure de village... On continue à suivre la Vallée du Vénéon en direction de la Bérarde. Au fond le Clocher des Écrins et, à sa gauche, le Col des Écrins, j'ai besoin de 12'000ft, va falloir fouetter les chevaux... On va se présenter vraiment de profil, pour se ménager la possibilité d'un virage à gauche si c'est pas bon derrière... Derrière, voilà le Glacier Blanc. Ça m'a l'air tout bon : virage à droite pour s'engager franchement... ...et on passe le col. Puis c'est la descente en virage sur le glacier... ...vers la vallée ! Le Glacier Noir, au pied du Mont Pelvoux et de l'Aile Froide. La Barre des Écrins. Un dernier coup d'oeil au Glacier Blanc. On aurait également pu passer par ce col au pied de l'Aile Froide. Voilà la vallée de la Durance. On laisse Briançon sur la gauche. La piste de Saint-Crépin est en vue. La Durance, elle, part à droite, vers le Lac de Serre-Ponçon... ...tandis que nous, on continue tout droit vers le Col de Vars. Serre-Ponçon. Après le col, c'est la descente vers Barcelonnette. Voilà l'aérodrome de St-Pons. Personne apparemment sur la fréquence… Gaffe quand même aux planeurs ! Vent arrière main gauche pour la 27... Mmmh, un peu haut et décentré, mais je n'aime pas trop ces arbres en seuil de piste... on fera une glissade si nécessaire. Après un poser sans histoires, roulage vers le parking... Mmmh, pas grand monde, les amis de Sophie ne viennent que lundi, cependant. Sophie me propose un petit dîner pour me remercier du taxi. On va bien trouver quelque chose d’ouvert dans les environs... Il est de toute façon un peu tard pour continuer ce soir, on va préparer l'avion pour la nuit. Le temps de régler les formalités et j'appelle Chris pour savoir où me rendre demain. Et vous, vous le saurez en lisant Convoyage III (à suivre)
  7. Episode I : L'ami Sion L'ennui, avec une licence PPL, c'est qu'il faut la conserver. Et cette année, j'étais un peu limite au niveau des heures, quand j'ai reçu de mon ami Chris - un Américain pas vraiment dans le besoin - une missive pour le moins curieuse, jugez-en par vous même : Une enveloppe, postée à Sion, une carte "American Kipress" et un mot, rédigé dans sa syntaxe inimitable. Salut good ol'pal, Je dois quit Sion pour une affaire urgent à Grenoble, mais ma Bonnie est un peu en trouble avec l'ignition, Charlie du ground staff dit c'est le bougie. Alors je lui laisse Bonnie pour le repair et je pars avec une PA28 à la place. Je sais tu es toujours un peu short en flight hours. Charlie dit ce sera prête demain. Peux-tu me conveyer ma Bonnie à Grenoble (Le Versoud) ? Je t'expliquerai tout devant une bonne bouffe, et puis après tu peux ramener la PA28, ça te fera tes heures. Voici un credit card, no limit pour tes expenses. Take care, you silly old friend Chris Chris m'entraîne toujours dans des histoires incroyables. Mais la plupart du temps, ses "affaires urgentes" sont ravissantes et se prénomment Sophie, quoique d'ordinaire, cela implique plutôt des voyages improvisés à Hong-Kong ou en Amérique Latine. Depuis Sion, Grenoble n'est pas vraiment le bout du monde, qu'est-ce que cela cache ? Bon, dehors, c'est plutôt cavok, le temps de finir mon caoua, une douche, et en route pour Sion ! Ah ! voici son Bonanza, immatriculé aux States, pas de doute. Jean-Charles (Charlie pour Chris) l'a harnaché pour un coup de vent, on dirait... Bon, visite pré-vol. On va aérer un peu, parce que j'ai franchement l'impression que Chris a fait du transport de poneys là-dedans. Ok, le plan de vol est enregistré, j'ai la confirmation que les travaux ont été effectués en ordre. Jean-Charles m'a donné la clef. Départ, donc ! Décollage sur la 25 Et hop ! on trime à monter... On va quitter la vallée du Rhône et ses vignes pour s'engouffrer dans une vallée latérale. Face aux Diablerets, il va falloir monter encore... À gauche, Derborence et le Pas de Cheville, c'est par là qu'on va passer. C'est l'occasion d'exercer les 360° en montée ! Faire gaffe quand même aux turbulences près des parois. Allez, là, ça passe on peut se mettre en palier. Le pâturage d'Anzeindaz et, derrière, le Lion d'Argentine... Le bleu Léman à tribord... ...en retraversant la vallée du Rhône. Les Dents du Midi, encore dans l'ombre, je me prends quelques turbulences... Survol du Pas de Chavanette. Derrière, c'est la France, avec Avoriaz Et dans la brume au fond, le sommet du Mont Blanc. En bas, la vallée de l'Arve et l'autoroute. Au loin, le Léman et, derrière le Salève, c'est Genève. Voilà déjà le lac d'Annecy en vue... Puis celui du Bourget, il est temps de virer pour éviter la TMA de Chambéry par le sud ! La vallée de l'Isère en vue... Vérifions quelques repères au sol, pas de doute, c'est bien l'Isère ! Quelques minutes plus tard, me voici en finale au Versoud. Bon Dieu ! Y a du monde... Ah ! une place pour moi ! Vite, mettre le clignotant avant qu'on ne me la pique... Un dernier contrôle de parc, avant de rendre l'avion à son proprio. Pas de Chris en vue. Ma parole ! mais c'est Sophie !? ... qu'est-ce que c'est que cette histoire !? Pourquoi Sophie m'attend-elle toute seule à l'aéroclub, où est passé Chris ? Vous le saurez en lisant Convoyage (II) (à suivre)
  8. Hé bé... vous posez vos lampes à souder avec la PC allumée ?!
  9. Très juste ! J'en ai du reste supprimé plusieurs au montage. J'ai voulu garder un effet d'aller et retour (comme dans un meeting), mais comme on voit peu le terrain, cela se remarque pas vraiment finalement. J'ai pensé alors à panacher les séquences de vol, mais ça ne collait pas avec l'accompagnement musical, alors tant pis, j'en suis resté à ça... Merci pour la critique :twisted:
  10. Ouaip, l'élément décisif pour le domptage de la bête fut sans conteste un rapide coup d'oeil jeté au manuel de vol de l'appareil et à ses conseils judicieux :twisted: P.ex. entre 7 et 9psi de boost au décollage. Avec plus de puissance (le compresseur du Mk.IX autorise 12psi), l'avion est incontrôlable. Sans vent, avec 8psi de boost et debout sur le pied droit, j'arrive juste à rester à peu près centré sur une piste en dur. Sans doute une limitation de FS: les modèles à moteur Griffon du pack (l'avion est basé sur le pack "Spitfire" de JustFlight) embarquent également à gauche, y compris le modèle à 2 hélices contra-rotatives (le Griffon tourne dans l'autre sens par rapport au Merlin) - dommage ! (2points en moins pour Gryffindor)
  11. À l'origine, je pensais mettre en évidence la Martinique ET l'avion... mais dès que je "filme" avec du terrain détaillé dans l'image, ça commence à saccader sérieusement. Quant à mettre encore des nuages pour représenter un temps plus typique de là-bas, c'eût été une catastrophe question fluidité. Résultat, je n'ai pas pu utiliser la plupart de mes prises de vue. Du coup, la scène en elle-même est malheureusement un peu prétéritée par rapport à mon idée de base et j'ai tâché alors de mettre quand même un peu l'avion en valeur - avec le TrackIR, c'est probablement l'avion dans lequel je me sens le plus en immersion (d'ailleurs c'est quasi impossible à piloter sans le TrackIR). Merci pour vos encouragements :twisted:
  12. Allez ! voilà la nouvelle vidéo de votre Trespassers en Martinique, à bord du Spitfire. Je pousse même la chansonnette à l'atterro... :twisted: http://www.francevfr.com/usersfiles/Spitfire_Martinique_07.wmv Merci encore à Laurent !
  13. Alors là, je suis limite jalmince, parce que le meilleur codec dont je semble disposer avec Studio8 (la machin avec lequel j'ai bricolé mon film) ne m'autorise que du 720 x 576 et me le taxe à 2000kbits/s... Mais bon, je n'ai que les moyens dérisoires d'un pauvre Helvète qui a dilapidé l'argent de sa soupe chez France VFR (depuis que Stéphane Eicher est parti en exil fiscal sur la Côte d'Azur, on est dans la m...) :twisted: Allons, j'ai refait un film avec les prises de vues utilisables (celles qui saccadaient le moins), j'espère le mettre bientôt à disposition sur le forum.
  14. J'espère qu'on n'a pas abîmé Flag, on en a encore besoin (y a plein d'autogen à placer) :twisted:
  15. Merci de ces indications ! J'ai aussi un double processeur, dont un seul est utilisé par FS9 qui tourne fluide, mais dès que j'enregistre, j'ai également des saccades... :twisted: J'ai fait passablement de prises d'images en Spit de la Martinique, je me retrouve avec 100Go de morceaux de films (.avi) et ça rame de plus en plus. Vérification, cette zone du disque (vierge avant que je commence à jouer avec Fraps) est hautement fragmentée... Je crois, cher Michel (qui n'est pas Big Mike) que le processeur n'y est pas pour grand chose dans les saccades de Fraps (chez moi du moins). Vais défragmenter et voir si mes images sont utilisables...
  16. Eh bien, devant l'enthousiasme soulevé par ma question (pourtant pas laconique), on ne sait que choisir...
  17. Allo Houston ? Flag, même pas un ch'tit élément de réponse ?
  18. Bon, ça fait qq temps que je fais des prises de vue video en Martinique avec Fraps, dans l'idée de faire un petit film... Seulement voilà, après montage, entre l'encodage MPEG et la conversion YouTube, j'obtiens une qualité assez dégueulasse pour un fichier qui continue à peser lourd... J'ai donc arrêté le montage en attendant de trouver des réglages qui puissent rendre hommage un tant soit peu à la scène France VFR, et à l'avion aussi. Voici donc la première partie : Question à Flag et Vbazillo (ou tout autre maîtrisant le sujet) : dans Fraps, vous enregistrez en half-mode, ou full-mode ? Est-il indiscret de vous demander vos réglages pour l'encodage en MPEG du montage ? Merci
  19. Un conseil, réduisez la visibilité (par ex. 40NM), les couleurs seraient moins saturées et le lointain serait plus réaliste...
  20. Ah ! c'était bien des éléphants roses, qu'il fallait voir...
  21. Big Mike est déçu en bien, comme on dit chez nous
  22. Où sont DSK et Fabius ?? vois poh d'éléphants, moi... (à part des roses, va sans dire)
  23. Là : http://www.francevfr.com/forum/viewtopic.php?t=1761
  24. Designair, J'ai monté différents modèles de caméras - à commencer par une caméra noir et blanc bricolée qui portait à 300m, mais dont l'image était plutôt illisible... Et puis j'ai trouvé il y a 4 ans dans le commerce le modèle couleur correspondant à la vidéo postée ici, mais il n'est plus guère disponible de nos jours - on doit trouver d'autres modèles. Voici quelques détails techniques de mon installation : Partie embarquée: La caméra a besoin d'une tension de 12VDC +/-0.5VDC À l'époque j'ai opté pour 10 éléments NiCd de 500mAh pour faible ampérage, d'une masse totale de 125g Masse de la caméra : 70g Masse du chassis : 80g Masse totale : 275g Au sol, le récepteur est intégré à un moniteur TFT, alimenté par ma batterie de terrain, laquelle peut également alimenter un magnéto pour faire les films. J'ai beaucoup de peine à piloter à partir de l'image car d'une part le grand angle nécessaire à l'absence d'AF rend l'évaluation des distances et des vitesses très difficile et, d'autre part, j'ai toujours la crainte de perdre l'image et de ne pas retrouver à temps l'avion en visu. En effet, avec 4 moteurs, même déparasités, il y a facilement des coins du terrain où l'image ne passe pas - avec un planeur électrique, le problème est moindre, vu que la plupart du temps le moteur est arrêté, mais la limitation de portée sera sans doute vite gênante. En bref, le pilotage par l'image, ça va quand l'avion est assez haut dans le ciel et qu'on évite les virages trop serrés...
  25. C'est effectivement un Cargo de Multiplex, acheté 200 francs et construit en quelques heures. La vidéo date de 2004. J'ai également longtemps gardé le petit Piper Cub de Multiplex, tout construit, dans ma voiture, toujours prêt à voler, avec des packs de batteries aujourd'hui totalement à bout de souffle. Avez-vous essayé les flotteurs ? J'ai volé sur plusieurs lacs, un vrai régal ! Mais le terme décollage prend soudainement toute sa signification : si l'avion se met facilement sur le redan, impossible de l'arracher à la flotte sans puissance additionnelle. C'est là que je suis passé de 6 à 8 éléments, transformant en quelque sorte mon "Cub" en "Super Cub". L'amerrissage est magnifique de réalisme pour peu que l'on garde un peu de gaz : ça glisse sur l'eau en ralentissant, puis les flotteurs s'enfoncent gentiment. Et pour peu que le temps soit calme, c'est d'une facilité déconcertante. La surpuissance des 8 éléments autorise également un décollage aisé depuis n'importe quel chemin de campagne, même non goudronné, raison pour laquelle ce petit avion que je gardais toujours sous la main s'est souvent prêté à des vols improvisés très relaxants... C'est aussi le genre de coucou que l'on fait essayer aux copains - c'est pas dommage si on torche.
×
×
  • Créer...