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Trespassers

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Tout ce qui a été posté par Trespassers

  1. Brrr, aujourd'hui le temps s'est salement gâté par ici : arrivée d'un front froid , donc nuages et pluie, chute des températures... Météosuisse annonce même de la neige à 1'500m, figurez-vous. Bon, moi je bosse à l'intérieur, ça ne change pas grand chose, mais bon, déjà que pendant que je bossais, eh bien mes montagnes ont passé subrepticement de ça... ... à ça : Et d'ici quelques mois, on aura probablement ceci : Autant s'y préparer moralement, non ? Note à benêts : images non-retouchées, comme d'hab, si ce n'est le redimensionnement...
  2. Trespassers

    Même pas peur...

    J'ai entendu dire que dans les formations actuelles, les pilotes de ligne apprennent à ne plus corriger l'angle de crabe avant le toucher par vent de travers. Les trains actuels sont paraît-il faits pour encaisser ce genre de contraintes plutôt que de risquer de se faire prendre par l'inertie. N'empêche, à l'époque où je voyageais beaucoup pour le boulot, le touchdown à Zürich faisait parfois mal - à l'époque, tous les atterros se faisaient sur la même piste pour ne pas interférer avec les départs, même avec un vent de travers à décorner les cocus...
  3. Ouaip, superbe, merci ! :wink: Du coup, on aimerait bien que la lumière dans FS soit un peu plus jaune, surtout en fin d'aprème...
  4. Ça c'est un compliment qui me va droit au coeur... :wink: Que répondre ? VOLONTIERS
  5. Je sens que d'ici peu, il va falloir se battre pour trouver une place de parc sur les aérodromes et faire sagement la queue pour décoller :wink: Le long des taxiways, on pourrait mettre des pancartes "à partir d'ici, 40 minutes d'attente" Bravo Éric, ces réalisations me semblent magnifiques et vont grandement contribuer à agrémenter les scènes ! Petite question : de quel produit ces avions AI feront-ils partie ?
  6. Merci Christophe pour le feedback ! Le contrôleur devait avoir du monde à Nice, il n'avait visiblement pas envie d'avoir un Robin dans les pattes
  7. Salut Alain, C'est esseprès en fait. Cette traversée est en VFR et si la brume avait été plus dense, j'aurais dû renoncer (au plus tard à MERLU, je pense). Mais ce sont des conditions de vol pour le moins déconcertantes, des sensations proches de l'IFR et j'ai dû passablement lutter pour garder ma trajectoire et mon assiette. Edith : c'est ce que j'entends par "me voilà plongé en IFR", licence poétique :wink: Dans la réalité, j'aurais en outre eu à lutter contre les infos fournies par mes fesses, alors qu'en VFR, ça reste un instrument de référence... Merci pour le lien
  8. Hé hé ! un gros avantage de FSX, c'est qu'il permet d'ajouter des passagères dans nos avions Hein ? Non ? Ça non plus !? Pfffh, vive le progrès... :wink:
  9. Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez, où je finis enfin par le retrouver. La surprise s’avère de taille puisque Chris m’offre ni plus ni moins que la conversion sur Spitfire en compagnie d’Eric, pendant que lui ira traiter ses affaires en Corse. **** Épisode VII : La pêche au Merlu. Ainsi donc, pendant que je m’entraînais sous l’œil attentif d’Eric, Chris a quitté l’hôtel Martinez, non sans avoir laissé un de ses messages énigmatiques m’enjoignant à le rejoindre sitôt ma formation terminée : Le business semble se confirm, mon HQ sera chez Stephan à Propriano, Corsica, I’ll wait for you there. Si je suis en trip, contact Stephan. Daniel est parti ce matin avec la PA28 pour Sion, il a laissé pour toi la Robin à Michael du ground staff, c’est la HB-KEX. C’est ok, demande à Michael pour le key et tu as le credit card pour les expenses. Bon, je partirai demain pour la Corse. Hmmm, j’ai passablement volé dans les Alpes, avec tous ses dangers cachés, les turbulences, les baffes de foehn à arracher les ailes aux embranchements de vallées, les terribles rabattants, comme cette fois où je n’en ai réchappé qu’en me déportant plein gaz de l’autre côté de la vallée, réussissant par miracle à m’extraire au dernier moment de cet ennemi invisible. Et pourtant, cette traversée sur la mer m’inquiète davantage. La panne moteur est assurément plus critique en montagne, mais j’y suis chez moi, je me rassure comme je peux en repérant des endroits où poser au cas où, bien que les chances d’en sortir indemne soient souvent maigres… Heureusement, Daniel avait aussi prévu de survoler la mer et le Robin est équipé en conséquence : gilets, canot, fusées, balises personnelles, etc. N’empêche, j’espère bien n’avoir besoin de rien de tout cela. Chris, comme d’habitude, est injoignable. Je laisse un mot sur le répondeur de Stéphane, annonçant mon départ prévu pour le lendemain. La traversée en VFR pour la Corse suit une route définie, il faut aller chercher le point de report LERMA depuis Saint-Tropez, puis OMARD et MERLU. Là, on bifurque en direction de Calvi, où j’ai l’intention de faire une étape psychologique – c’est plus court. Ces points de report sont alignés sur une radiale depuis le VOR de Saint-Tropez, je n’ai qu’à la suivre et contrôler ma position en fonction du VOR de Nice, par exemple. De MERLU au point de report Whisky de Calvi, il n’y a qu’à suivre la radiale du VOR de Cannes. Si je dérive, j’arrive forcément sur la Corse, ça devrait le faire. Et puis… j’embarque largement assez de jus pour rejoindre l’Italie si d’aventure je me perdais vraiment. Le lendemain matin, toujours sans nouvelles de Chris, je fixe le départ à 0900. Michel m’a donné les clefs du coucou et indiqué où le trouver, me voici sur le tarmac. Ah ! Voilà le Robin… HB-KEX, c’est bien cela. Tout est prêt, j’ai du jus pour aller jusqu’au bout du monde et le matos est vérifié. Neuf heures, le moteur tourne, je règle les NAV sur Saint-Tropez (STP) et Nice (AZR). Point fixe en bout de piste. Je vérifie soigneusement chaque magneto. Aligné sur la 17 pour le décollage… C’est parti ! On va longer la côte en direction de Saint-Tropez… Les Issambres… San Peire… Voilà Saint-Tropez. Un dernier regard à la terre ferme avant la traversée… On arrive à la radiale 100° de STP. Il n’y a plus qu’à la suivre en direction du point de report LERMA, le contrôle de Nice me demande de garder 1’500ft. On ne voit déjà presque plus la côte. Je balaie chaque instrument à la recherche de la moindre défaillance. Saleté ! La brume s’épaissit. Je n’en mène pas bien large, me voilà plongé en IFR au ras de la flotte, pas le droit de monter… Et pas une vague plus haute que l’autre pour se repérer. Arrivé à LERMA, je vérifie et revérifie mes instruments. Le contrôle m’autorise à grimper au FL55 vers OMARD. Pas trop tôt… En cas de pépin, j’aimerais toutefois avoir un peu plus de réserve. Le contrôle me propose le FL75. On se rassure comme on peut. Je passe en QNH1013 et engage la montée à 7’500ft. Voilà OMARD, je me prépare à faire mon annonce… Et dehors, toujours cette brume. Je n’ai pas vu le moindre navire de tout le trajet. En cas de panne, on ne sait jamais… Et voici MERLU, tous les instruments sont dans le vert. Paré à virer au cap 127° Ah ! la brume du large semble se dissiper légèrement… Mais toujours rien à l’horizon. Quelle sensation oppressante ! Toutefois, il n’y a qu’à suivre la radiale du VOR de Cannes (CNM) jusqu’à Calvi. Je scrute l’horizon… toujours rien… Terre ! Terre ! Les gars de la Santa Maria n’ont pas dû être plus heureux en 1492 que moi en ce moment... Et voici le golfe de Calvi et la Revellata, ma nav était au poil, je n’ai quasiment pas dérivé. Espace D de Sainte-Catherine, je vais pouvoir m’annoncer au point de report Whisky. La tour m’envoie au point de report November, gaffe à un ballon à air chaud qui traîne dans le coin. Autorisé à entrer en base main droite pour la 18. J’ai le ballon en visuel. Magnifique vue de Calvi. Le circuit est libre, j’entre donc en base (longue) main droite à 1’200ft. Finale… …et c’est posé ! Ouf ! pas fâché de retrouver le plancher des vaches. Après un passage obligé au petit coin (l’émotion, sûrement), je consulte ma boîte vocale en allant fêter ma première traversée en solo avec un caoua bien tassé. Ah ! il y a un message de Chris. Et savez vous ce qu’il me dit ? Hein ? Non ? Eh bien, vous le saurez en lisant Convoyage VIII. (à suivre)
  10. Jein, les textures peuvent avoir des variations différentes, le résultat pour un même waterclass peut passablement varier. Avant de refaire mes textures selon la méthode indiquée par Jean Maridor, je suis tombé une fois sur un jeu de textures qui me transformait l'eau laiteuse des lacs de glaciers en lagons des Caraïbes...
  11. Pour ceux que ça intéresse, c'est exactement l'itinéraire que j'ai choisi dans Convoyage (II). http://www.francevfr.com/forum/viewtopic.php?t=2084
  12. Bah, vu la région, on aurait plutôt pris la fleur de sel à Aigues-Mortes, tu crois pas ? 8)
  13. Résumé des épisodes précédents : Chris, un riche ami américain, m'a demandé de lui convoyer son Bonanza de Sion à Grenoble, où je devais le retrouver et récupérer un PA28 à ramener en Suisse. Arrivé à Grenoble, cependant, c'est sa copine Sophie qui m'accueille. Chris m’a laissé un mot me demandant de conduire Sophie à Barcelonnette à bord du PA28, pendant que lui ferait escale à Sisteron pour me préparer une surprise. Sans nouvelles de Chris, je décide de le rejoindre à Sisteron de bon matin. Hélas ! arrivé sur place, je trouve l’aérodrome désert et un message de Chris sur ma boîte vocale, m’invitant à le rejoindre à Cannes, à l’hôtel Martinez, où je finis enfin par le retrouver. La surprise s’avère de taille : un vol en Spitfire biplace, en compagnie d’Eric. Les deux compères, cependant, me réservent bien plus encore. **** Épisode VI : French Cannes-Cannes. Nous étions donc attablés au restaurant préféré de Chris quand ce dernier me fait une proposition qui me laisse sans voix : Écoute, ça te dirait je t’offre la conversion sur la Spitfire avec Eric ? C’est une très bon teacher, c’est lui qui m’a trainé. Tu verras, c’est vachement mieux que la PA-28… À propos, j’ai trouvé un agreement pour elle. Daniel est arrivé ce soir de Sion avec une Robin du club pour trouver un ami et faire un big tour, Corsica, Sardinia, Sicily and you named it. Mais le pauvre, il doit cancel son trip, un trouble avec son ami, la pindicit il a dit. Alors il retourne demain à Sion, et il est ok de voler la PA-28 pour la rendre. Anyway la Robin est booked pour 2 semaines, alors tu peux ensuite tourner tranquillement à la maison avec elle, c’est moi qui paie, okay ? Sûr qu’une proposition comme celle-là, ça ne se refuse pas. Comme je lui fais toutefois remarquer que je n’aurai guère la possibilité de garder la main ensuite, il ajoute « well, faut voir … » Qu’est-ce qu’il a bien pu vouloir dire par là ? Vu le côté approximatif de son français, je ne sais jamais trop comment interpréter ce genre de phrases, qui parfois signifient tout autre chose que ce qu’il croit exprimer… Pour changer de sujet , me dit-il encore, je dois partir demain ou le jour après en Corsica, je peux rien te dire, mais c’est un big business. Don’t worry, tu as toujours la credit card pour tes expenses ? Reste autant qu’il te plaira, enjoy ! Bon… effectivement, mon tour des aérodromes suisses peut attendre. Rendez-vous est donc pris le lendemain à 10h pour la première leçon. De retour à l’hôtel, dur dur de trouver le sommeil… Le matin, pourtant, me voilà déjà à tourner fébrilement en rond dans ma chambre alors qu’il n’est encore que sept heures. Arrivé enfin sur le terrain, briefing avec Eric, puis installation dans le cockpit – celui de devant cette fois – pour la leçon. On entre dans le Spitfire comme dans un gant. C’est étroit, il y a juste la place, sans plus. Gaffe de ne pas mettre les doigts sur la verrière. Voilà, je suis assis. Le tableau de bord est typiquement anglais, un fouillis noir dont l’obscurité tranche avec la lumière crue de l’extérieur. Ma première impression est que le tableau de bord n’a pas été conçu pour être regardé. Si ça se trouve, il n’a même pas été conçu du tout. On a mis des instruments ici ou là au fur et à mesure, la boussole est même cachée derrière la colonne du manche. Le pilote regarde dehors et c’est tout juste s’il ne doit pas se contorsionner pour jeter un œil à l’intérieur, sur ses instruments. Eric me confirme que l’un des instruments principaux, sur le Spit, ça reste les fesses… tu seras surpris comme tu le sentiras, en vol Il faut cependant garder un œil sur quelques instruments : ne jamais laisser l’hélice dépasser 3'000 rpm, gaffe à la pression d’admission et bien surveiller les températures. Mise en route. Ça tourne ! La visibilité devant est nulle. Prêt pour le roulage… Roulage sportif, en zig-zag. Point fixe en bout de piste. En attendant la clearance, révision avec Eric de tous les paramètres… Aligné avec la piste, surtout, ne pas oublier de verrouiller la roulette de queue avec ce levier, sinon, c’est le rodéo ! Pied droit à fond, puis on réduit au fur et à mesure que la gouverne gagne en efficacité. Rentrer le train, réduire les tours d’hélice à 2’650rpm, fermer la verrière, contrôler les températures. Prise en main au large de Saint-Raphaël. L’avion est étonnamment doux. Puis viennent les exercices. Simulation d’atterrissage dans les airs, approche tout sorti… …pour une remise de gaz. Olé !!! l’avion m’échappe ?! Eric se marre, derrière, sur son siège. Je me suis fait avoir par le couple du moteur. Lors d’une vraie approche, ça ne pardonnerait pas, mais rien de tel que la démo pour entrer ça dans sa tête, pas vrai ? Le temps de reprendre mes esprits, et nous avons continué les évolutions. Pendant trois jours, nous avons ainsi entraîné sans relâche toutes les phases du vol, en particulier l’atterrissage en U. J’étais très occupé, et tellement concentré pour ne pas faire de bêtises, que c’est tout juste si j’ai pensé à prendre des clichés… Tour de piste à Hyères. Survol d’Aix-en-Provence. L’Étang de Berre, avec Martigues et le canal de Caronte. L’Estaque… Marseille, le Vieux Port et la Canebière. Marseilleveyre et l’Île Maire. Les calanques et la route du Col de la Gineste. Cassis. La Ciotat. Les collines de Pagnol, avec le Garlaban, le Plan de l’Aigle, le vallon de Passe-temps, Tête Ronde, le Pic du Taoumé et, bien-sûr, la Bastide Neuve… Retour à Cannes… …pour un atterro sur la 17. Après trois jours d’entraînement, me voilà apte à piloter un Spitfire. Entre-temps, Chris a quitté l’hôtel Martinez, non sans avoir laissé un de ses messages énigmatiques m’enjoignant à le rejoindre sitôt ma formation terminée. Mais ça, vous le saurez en lisant Convoyage VII. (à suivre)
  14. Quoi, Big Mike, n'a toujours pas résolu son problème ? C'est vrai, ça, Big Mike ? Edit : je dis pas ça pour les bimbos, hein...
  15. Héhé, je crois qu'Alro est pas mal sollicité ces temps. T'as besoin de chantilly, pour la Bonne Mère ?
  16. Possible, CH-Products, c'est pas donné. Mais ça fonctionne bien (chez moi, du moins). Je ne regrette pas mon achat...
  17. Et les pédales de guitare, elles servent da palonnier ? Edit : le Yoke Saitek apporte-t-il quelque chose par rapport au CH-Products ? (lequel fonctionne à merveille, sauf chez ceux dont le palonnier se désactive à l'atterro... )
  18. Non, très bien les images, au contraire ! Continuez :wink: Le soin des marmottes est en Suisse une vieille tradition, comme l'en atteste cette carte postale ancienne :
  19. Ben non, je ne parle pas de config, je parle de la scène. Je n'ai pas connaissance que la version FSX contienne quoi que ce soit de plus que la version FS9. Ce soir, question floutage, pas eu de problème - va comprendre, Charles...
  20. Merci pour la réponse, Éric, mais quand vous écrivez à quoi faites-vous allusion ? Quels détails y a-t-il dans les scènes FranceVFR pour FSX, qu'il n'y aurait pas sous FS9 ? Je demande ça très simplement, car pour autant que je sache, ce sont toutes des scènes FS9, transférées sur FSX, mais je ne crois pas que FVFR ait ajouté des détails supplémentaires dans l'adaptation pour FSX (je pose la question). FSX est en revanche capable d'afficher des résolutions de textures plus fines que FS9, mais à part la démo du Versoud, toutes les scènes FVFR sont en 4.75m/pixel, soit la résolution de FS9. FS9 a bien des défauts (un moteur graphique écrit avec les pieds), mais la grosse déception de FSX est qu'aucun de ces défauts n'a été résolu - au contraire, le moteur graphique semble encore pire... :wink: Pourtant, en déléguant quelques tâches à la carte graphique, on aurait vraiment pu faire de chouettes choses avec une Geforce 8800. Je dis ça en étant pas mal véreux - rien contre vous rassurez-vous - mais confronté à quelques floutages qui reviennent épisodiquement*, j'ai fini par investir dans une 8800 qui coûte la peau des fesses et le lard du chat réunis. Et bien figurez-vous que je n'y ai rien gagné. RIEN. Pas un FPS de plus qu'avec mon ancienne carte à 50€, les mêmes floutages épisodiques, avec FS qui roupille au lieu de charger la texture floue (même si je mets sur pause et que le processeur s'en trouve moins sollicité), ça rame la même chose quand les objets commencent à se bousculer dans la zone, brèfle, si elle ne servait pas pour d'autres applications, j'aurais vraiment acheté cette carte pour rien. À croire donc qu'il n'y a que le processeur qui travaille et que le rafraîchissement des textures soit pour lui la prio 22. *là non plus je n'y comprends rien : en volant avec le même coucou dans la même région, un jour les textures se chargent correctement, le jour d'après j'ai du floutage. Le disque dur est un Raptor soigneusement défragmenté Brèfle, limite véreux, le Trespassers
  21. http://www.ctv.es/USERS/ogonet/leman/pirates.htm Ou dans un registre plus actuel : http://www.lavaudoise.com/cabotage_2007.htm Les sorties sur le lac des Pirates d'Ouchy représentent toujours des moments particulièrement fastes pour la viticulture locale. Pas grand chose à craindre en revanche pour les autres bateaux, du moment qu'ils arrivent à manoeuvrer pour les éviter... Edit : je signale que je n'ai rien à voir avec les ivrognes cités ci-dessus
  22. Peu d'objets ??? Voici ce à quoi Nice devrait ressembler dans FSX (je me permets de reprendre un screen posté par Alro)
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