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Trespassers

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Tout ce qui a été posté par Trespassers

  1. Pas essayé, mais à partir du moment où ces systèmes externes dialoguent avec FSX/P3D par le biais de Simconnect, il y a très peu de chances que cela puisse fonctionner sans une adaptation par l'éditeur, tout comme pour passer de FSX à FSX SE ou P3D, qui utilisent chacun leur Simconnect dédié. A+ Antoine
  2. Pas encore, je n'ai passé que 40 minutes dessus hier soir, dont 25 à télécharger le machin... Je verrai si j'arrive à m'y remettre un petit moment ce ouikenne. Les activités prévues sont, dans l'ordre de priorité : 1) importation d'une scène 3DA (PACA vol1, p.ex) avec les définitions d'autogen qui vont bien 2) importation de mon DR400 L'intérêt est essentiellement de voir si qqch bloque, par ex. que FSW n'accepte pas les définitions tierces d'autogen ou le format de tel ou tel composant de l'avion. À ce stade, le reste est secondaire à mon sens. A+ Antoine
  3. C'est exactement ça. Et les couleurs ne sont qu'une histoire de shaders. Dans FSX, tout se modifie, ou presque... A+ Antoine
  4. Sur Lausanne en texture photo, j'ai lu 67 fps assez stable, mais pas mal de cisaillements en tournant la tête (cause pas de synchro verticale) et c'est pas fluide, il y a du lag. La première impression, c'est que c'est vraiment FSX avec une interface relookée et d'autres shaders. A+ Antoine
  5. Essai rapide d'ajouter une scène photo simple avec autogen dans le scenery.cfg => passe comme une lettre à la poste. Bon, les couleurs, c'est pas ça, mais une chose après l'autre...
  6. Téléchargé en 24 minutes, fait un premier vol depuis Lausanne en PA28, ça faisait longtemps que je n'avais plus été sur de la scène générique, c'est toujours aussi n'importe quoi. Pas de plantage, yoke et pédales CH Products ainsi que TrackIR automatiquement pré-configurés et fonctionnels, mais pas les panels Saitek ProFlight (un peu normal). Le comportement du PA28 est correct, on se sent vraiment dans FSX avec un décor générique et des couleurs un peu plus (trop) flashy. La piste de Lausanne est toute plate (beurk) avec des bâtiments en bout de piste (ah bon ?!) Ça tourne entre 50-60 FPS, mais pas super fluide, quelques saccades. Les flaps manuels du PA28 entrent et sortent lentement, comme des volets électriques, et le son arrive quelques secondes après l'action... Pas encore essayé d'y mettre une scène photo, mais pas bien sûr que ce soit possible. A+ Antoine
  7. Disons qu'A2A programme beaucoup de choses en-dehors de FSX pour leurs modélisations, cela leur permet de contourner les limitations du simu... je n'ai pas leur C172, je ne peux rien dire sur cet avion. Mais comme le dit Filipo, la vrille sort trop du domaine de vol pour que l'on puisse demander ça à un simu grand public. Et les simus qui calculent tout comme Aerofly FS ou XPlane, cela exige de vraiment soigner les paramètres des avions, sinon on fait vite n'importe quoi. On le voit avec certains avions freeware sous Xplane qui ont des comportements totalement à côté de la plaque. A+ Antoine
  8. là c'est du A2A, visiblement l'éditeur a bien réussi cet aspect sur cet avion, mais ce n'est de loin pas le cas de tous, même le PA28 du même auteur ne fait pas aussi bien. A+ Antoine
  9. Tu ne te trompes pas, mais c'est l'avion d'Aerofly FS 1 qui a été porté dans FSX/P3D par son auteur (Joachim Schweigler). IPACS l'a gentiment et gratuitement inclus comme avion démo dans le SDK d'Aerofly FS2, ce qui fait qu'on peut se le convertir soi-même et étudier les fichiers de configuration pour comprendre comment ça fonctionne dans Aerofly FS2. A+ Antoine
  10. ça vient, ça : plusieurs éditeurs sont en train de convertir leurs avions. La différence est claire : Aerofly FS a un puissant modèle physique dans lequel les avions évoluent selon les lois de l'aérodynamique, ce qui impose un grand soin dans le paramétrage des avions. Comme dans XPlane, si c'est mal fait, ça vole mal. FSX/P3D a des modèles de vol empiriques, plus ou moins valables dans le domaine de vol. Cela devient très vite n'importe quoi quand on sort du domaine de vol, c'est le cas de la vrille. Si ce n'est pas soigné, ça peut aussi faire n'importe quoi dans le domaine de vol, mais la base de C172 est assez universelle pour représenter raisonnablement les avions d'aéroclub... A+ Antoine
  11. Cela dit, l'aspect pédagogique de la vrille dans le simu reste probablement assez anecdotique, même si sous Aerofly FS ça peut être une démonstration avant d'essayer en vrai. Avec FSX/P3D, il faut juste oublier... A+ Antoine
  12. Par curiosité j'ai fait l'essai avec le Robin dans Aerofly FS2, histoire de voir ce que cela donne avec le modèle physique calculé : le résultat est étonnamment très cohérent. L'avion part en vrille au coup de pied à gauche et n'en ressort qu'en appliquant le pied droit à fond - j'ai volontairement laissé l'avion en autorotation commandes au neutre pour vérifier qu'il n'en sort pas tout seul... À titre de comparaison, même essai avec mon DR400 et le PA 28 A2A sous P3D, cela sort clairement du domaine de vol empirique. Le DR400 bascule simplement sur une aile mais ne part pas en vrille. Le PA28 simule à peu près bien un départ en vrille, mais il en sort automatiquement au bout de 2 tours exactement comme si j'avais appliqué plein pied à droite, ce qui n'est pas le cas (palonniers au neutre sitôt la vrille amorcée). A+ Antoine
  13. Et si elle est bien faite, la Gazelle n'est pas exactement l'hélico de choix pour débuter... A+ Antoine
  14. Oui, tu n'es guère malmené physiquement pendant le tonneau barriqué, mais l'oreille interne te sent bien assis dans ton siège avec des mouvements latéraux qui ne collent a priori pas avec les yeux qui voient basculer le décors. Je comprenais parfaitement ce qu'on faisait, mais les sensations étaient juste un peu déconcertantes, exactement ce qui peut rendre malade. J'imagine qu'on s'y habitue, tout comme quand on lit dans le train... Pour ce qui est des G, il est bien entendu que mon FI du jour aurait pu me dégoûter en 5 minutes, mais ce n'est pas l'esprit. J'ai fait toutes mes évolutions à environ 3 G autour des nuages, c'est juste ce que je trouve agréable : tu es bien tassé dans ton baquet, tu comprimes les abdos, mais tu n'es pas mal à l'aise, pas de chute de tension, juste de belles sensations, et quelle facilité ! A+ Antoine
  15. Pour avoir fait quelques figures aux commandes d'un PC-7, autant le looping passe tout seul, autant j'ai trouvé le tonneau barriqué très... sensoriellement déconcertant, l'oreille interne envoyant au cerveau des messages incohérents par rapport à ceux envoyés par les yeux. Il n'aurait pas fallu longtemps avant de devoir sortir le sac... La vrille, c'est un peu ça en plus fort... A+ Antoine
  16. Mouais, j'en suis moyen convaincu. Avec nos vieilles cellules de construction classique (DR400, C172, Rallouze, PA28, Cub, etc.) oui, le décrochage est généralement pépère et faut un peu aller les chercher pour déclencher une vrille. Dans la vidéo, tu vois le coup de pied à gauche pour lancer l'autorotation. Évidemment, en dernier virage, ça pardonne pas... Sur les cellules modernes qui vont chercher la performance aux limites de l'ULM, je trouve le décrochage beaucoup plus vicieux. Un instructeur de mon club s'est retrouvé sur le dos en faisant décrocher un Dynamic WT9 (le centrage était-il vraiment correct ? l'AFM est faux)... A+ Antoine
  17. Merci pour la vidéo. Les simus le rendent souvent très mal, cela sort totalement du modèle empirique de FSX/P3D. De toute manière, cela n'a que très peu d'intérêt dans un simu car l'essentiel de la vrille est de réussir à faire le geste (pied opposé à la rotation, manche au neutre) malgré la désorientation, au point qu'il est parfois difficile de déterminer le sens de la rotation (il faut alors appuyer le pied du côté où c'est le plus dur). Tout cela n'existe pas du tout dans un simu, où c'est tout facile. L'exercice est très démonstratif, au contraire je trouve très bien pour la démonstration de laisser le temps à l'élève de comprendre que l'avion ne vole plus, même s'il devait être un peu vert après parce que l'oreille interne en prend un sacré coup. Toutefois, l'AFM du Robin stipule assez clairement "vrille volontaire interdite". A+ Antoine
  18. Oui, voir par exemple ICI. En gros, pour l'instant les CTR et un rayon de 5km autour des AD. A+ Antoine
  19. Wow, superbe ! merci du partage. Attention aux trafics au Creux-du Van : quand la LS-R4 est active, on est limité à 5'000ft => on passe juste en radada au-dessus de la falaise (belles baffes assurées en cas de bise) pour rejoindre le point d'entrée des Eplatures aux Ponts-de-Martel. A+ Antoine
  20. J'essaie d'entretenir mes procédures. Par exemple, avant chaque décollage, au point d'arrêt, une fois le run-up effectué, on fait un briefing départ, chacun a appris à sa manière, mais je passe en revue les différentes vitesses : Vrot, Vx, Vy, Vitesse de plané 1 cran de volets, vitesse de plané en lisse, piste de décollage, itinéraire vers point de sortie, altitude de montée initiale, ce que je fais en cas de panne sur la piste, en cas de panne après décollage, altitude à partir de laquelle on tente un retour au terrain. Les bonnes pratiques consisteraient à étudier pour chaque terrain où l'on se rend quels sont les endroits à utiliser ou à éviter en cas de panne moteur... La procédure ne fait pas tout, c'est surtout un précieux support pour commencer au plus vite quelque chose et enchaîner les actions, au lieu de rester pétrifié face à une situation. A+ Antoine
  21. Creuser je vais. Le receive est plus important que le cast. Je limite ce dernier au terrain (important que les montagnes projettent une ombre) à mon avion et aux nuages. J'évite le cast des bâtiments, trop lourd. Le receive est plus généralisé, sinon l'image edt incohérente. L'ombre des nuages au sol, c'est vraiment ce qui donne une touche réaliste dans une lumière estivale avec quelques nuages. Dur de s'en passer une fois qu'on y a goûté ! Vais mesurer ma VAS avec et sans. Ça peut aussi être une des raisons de mon floutage mystérieux : sous FS9 les ombres du matin et du soir étaient des génératrices de bouillie de pixels... Ah, si seulement le SDK d'Aerofly FS permettait de générer la France selon France VFR, le floutage n'y existe pas et quand je laisse illimité, je tourne à pas loin de 400 FPS à Monument Valley... A+ Antoine
  22. 1 min ou 1 min 30 après le décollage, tu reviens à la piste (dès 1'000 ft AGL). Là, c'est une poignée de secondes, rien d'autre à tenter que poser droit devant. Le réflexe de tirer pour passer sur les arbres n'est pas salvateur : il a beaucoup de chance de s'en sortir aussi bien et c'est ce qui compte. A+ Antoine
  23. Le message radio est la priorité 22. Si ça se trouve il est en auto info avec personne pour écouter. PAN ou MAYDAY ça sert quand on doit se réserver le crachoir pour causer sur la fréquence et demander (mayday 3x) ou non (pan 3x) de l'aide. Si vraiment t'as qqn sur la fréquence tu gueules "panne moteur" comme il a fait, si tu as le temps avec un "mayday" juste avant pour attirer l'attention et tu te concentres sur la prio absolue : piloter ton avion. On n'a pas d'indication de vitesse dans son cas, j'ai le sentiment qu'il plonge au-delà de la finesse max. Il avait un vaste champ plat devant lui et tourne face à des arbres qu'il n'avait probablement pas vu. Il ne les voit qu'au moment de toucher et tente de remonter pour les passer, au risque de décrocher, ce qui est particulièrement casse-gueule. Il s'en sort drôlement bien. A+ Antoine
  24. Aïe, ça a dû bien taper, content qu'il s'en sorte indemne. C'est probablement pas le cas de l'avion, mais ça c'est secondaire. Le faire dans FS n'a de sens que si on a appris une procédure et qu'on l'applique. L'intérêt pédagogique réside essentiellement dans le fait d'appliquer la dite procédure, qui consiste dans les grandes lignes à pousser vigoureusement le manche en avant pour afficher au plus vite la vitesse de plané, puis à aller poser droit devant +/-30°. Avant de poser il faut préparer l'habitacle (ceintures, essence coupée, électricité coupée et, si on en a le temps et selon le type d'avion, ouvrir la verrière pour ne pas rester prisonnier quand l'avion se retourne). Dans la réalité, ça va très vite. Quand le moulin coupe en montée initiale, la vitesse chute très vite, donc la réaction doit être immédiate. Ensuite, on n'est parfois plus qu'à faible hauteur et les solutions qui s'offrent sont limitées, faut faire avec en essayant de garder le contrôle jusqu'au toucher. La tendance naturelle est de refuser le sol pour ralentir au max, ça finit en décrochage en basse hauteur, bien pire que de toucher avec un excédent de vitesse. Depuis mon fauteuil, le passage par-dessus la haie dans la vidéo est pour le moins discutable, heureusement il s'en sort bien. Si on arrive dans des arbres, faut l'accepter et viser entre 2 troncs : les ailes resteront probablement sur place, mais pas le fuselage... Dans nos simus, c'est tout facile, ça ne permet pas de savoir si on fait les choses au mieux, mais c'est déjà pas mal si on applique les gestes, ça peut servir ensuite dans la réalité (entretien des procédures). A+ Antoine
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